Les enfants d’aujourd’hui sont toujours exploités économiquement et utilisés comme source de main-d’œuvre bon marché – même dans les pays qui ont signé la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant. .

Claudia Jerger, vice-présidente du conseil d’administration de la Fondation YOU, a été témoin au Bangladesh de la façon dont les enfants travaillaient à plein temps dans les usines. Le gouvernement permet aux enfants de travailler au lieu d’aller à l’école.

« Ils sont piégés dans un cercle vicieux »

Tout en aidant à soutenir leur famille, les enfants sont fiers du travail qu’ils font, en particulier ceux qui travaillent dans l’industrie métallurgique. Les propriétaires d’usines sont également fiers qui pensent qu’à travers le travail des enfants, ils aident les familles à survivre. Les parents comptent généralement sur les enfants pour travailler. « Ils sont piégés dans un cercle vicieux », explique Claudia Jerger.

L’aide humanitaire ne peut pas briser ce cercle vicieux

De nombreuses familles n’ont pas d’autres options. Une cabane dans les bidonvilles coûte 30 euros par mois et les parents gagnent souvent moins de 15 euros par mois ;un enfant peut gagner jusqu’à 8 euros par mois en travaillant chaque jour pendant 10 heures. De plus, la famille a encore besoin d’acheter de la nourriture pour survivre. L’aide humanitaire ne peut pas changer les lois d’un pays, mais nous pouvons nous efforcer de sensibiliser et d’améliorer les conditions de vie ! Nous ne voulons même pas imaginer ce qui se passerait dans cette situation si un membre de la famille tombait malade !

Comment pouvons-nous retirer les enfants de ce cycle infernal ?

Les écoles du soir offrent une chance de sortir de ce cycle. Les enfants reçoivent un enseignement élémentaire et des compétences de base et sont informés de leurs droits. Des jeux et des activités culturelles sont également proposés. « Nous souhaitons renforcer les enfants avec la connaissance – dans la société et dans leurs quartiers – et leur offrir une chance d’être des enfants.

En tant qu’adultes, ils auront de meilleures chances sur le marché du travail, ils connaîtront leurs droits et avec cette force ils pourront briser le cycle.

Vous pouvez arrêter la machinerie infernale

S’il vous plaît, n’ignorez pas ce problème et aidez ces enfants à espérer un avenir meilleur.

Nous demandons votre aide : s’il vous plaît, soutenez les écoles du soir au Bangladesh et offrez à ces enfants un avenir meilleur.